Anna, ingénieure canadienne, accepte un poste à Amsterdam et cherche un appartement d’une chambre. Avec l’aide de collègues, elle découvre le système néerlandais de points et un simulateur officiel de loyer.
En entrant la surface, l’étiquette énergie et les équipements du logement, elle constate que le loyer demandé dépasse de 280 euros le maximum légal pour cette catégorie. Plutôt que d’abandonner, elle dépose un dossier de contestation structuré en joignant son bail numérique et des photos.
En quatre semaines, le loyer est révisé à la baisse pour se caler sur le plafond légal. Sur un an, cette différence représente 3 360 euros d’économies sans déménager. Les ingrédients clés : un cadre légal clair, un contrat numérique vérifiable et la confiance pour utiliser les voies de recours officielles.
Si vous visez des villes comme Amsterdam, Berlin ou Vienne, combinez ce guide avec notre article plus large sur le choc immobilier en Europe : Choc immobilier 2025–2026 pour les expatriés.